Alain Roellinger, passionné d’aviation dès sa jeunesse, ne découvre finalement le pilotage qu’à la quarantaine. Sans tarder, cette autorisation de voler seul à bord d’un avion léger se transforme en goût immodéré d’aller voir « ailleurs ».
« L’ailleurs » selon Roellinger, ce sont des territoires difficiles, mais où l’avion léger se révèle indispensable. Ce sera donc l’Islande, l’Alaska, le Grand Nord canadien, la Scandinavie, mais aussi la Russie. (…)